Qui suis-je ?
Bonjour,
Je m’appelle Christel Forré.
Ce qui m’anime dans la vie et dans mon travail, c’est d’accompagner les personnes prêtes pour un changement en profondeur sur leur chemin de libération et de guérison émotionnelle et personnelle et de reconnexion à Soi.
Les émotions
Les émotions ont toujours été un défi pour moi: en tant qu’hypersensible, je ressens les choses très intensément, dans le positif comme dans le moins positif. Combien de fois dans ma jeunesse ai-je entendu: “Tu es trop sensible”! Cela m’a amenée il y a des années à chercher des moyens de pouvoir mieux gérer et apaiser mes émotions. C’est ainsi que j’ai découvert les fleurs de Bach il y a 20 ans et plus récemment, le Code des émotions. Je peux dire que ces deux méthodes m’ont changé la vie et encore à l’heure actuelle, ce sont celles vers lesquelles je me tourne dans les périodes difficiles quand j’ai besoin de soutien pour gérer mes émotions qui s’affolent.
Après avoir bénéficié à d’innombrables reprises de leur action réconfortante et apaisante, j’ai eu envie d’en faire profiter les personnes qui rencontrent des difficultés similaires dans la gestion des émotions. Cela m’a amenée à devenir conseillère certifiée en fleurs de Bach en 2007, puis praticienne certifiée du Code des émotions en 2022. Dans l’optique de perpétuer la vision du Dr Bach, qui souhaitait que chacun·e puisse prendre sa santé en charge et se soigner avec des remèdes naturels, j’enseigne également les fleurs de Bach depuis 2021.
Ce qui me motive le plus dans cet aspect de mon travail, c’est de permettre aux personnes qui en ont vraiment besoin de découvrir des outils simples et efficaces pour gérer leurs émotions plus facilement et ne plus les voir comme des ennemies, mais comme de simples indicateurs que quelque chose dans leur vie ne leur convient pas.
Pour l’avoir vécu moi-même, je sais que disposer de tels outils quand on est face aux situations difficiles de notre vie peut tout changer: alors que jusque là, on se sentait démuni, impuissant et souvent le jouet de ses émotions, on a tout à coup la possibilité d’agir sur elles. Cette seule prise de conscience est une source puissante de soulagement et d’apaisement.
La relation à soi
Un autre gros défi auquel j’ai dû faire face – et qui va souvent de pair avec l’hypersensibilité – est la relation avec moi-même. En tant qu’hypersensible, notre différence crée souvent une distance avec les autres, ce qui génère de l’incompréhension et parfois de l’exclusion. Avec le temps, on peut en arriver à croire qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez nous. Comme on fonctionne différemment de la majorité, on pense que c’est nous qui faisons quelque chose de faux, on ne se sent pas à la hauteur, et à la longue notre image de soi en prend un sacré coup. Selon l’environnement dans lequel on vit, cela peut finalement conduire à une relation complètement dysfonctionnelle avec soi-même: sentiments d’infériorité, autocritique exagérée, mépris voire haine de soi… Au bout d’un certain temps, la situation peut devenir intenable: on peut échapper à certaines personnes ou situations qui nous empoisonnent, mais on ne peut pas échapper à soi-même!
Dans ce contexte, la pratique de l’autocompassion m’a apporté une aide inestimable. En gros, elle vise à nous amener progressivement à nous percevoir et à nous comporter avec nous-même comme un tendre ami… au lieu d’un ennemi juré! Pour ma part, prendre conscience que j’avais le droit de vouloir apprendre à m’apprécier et à me voir avec un regard bienveillant a été une révélation. Découvrir et apprendre à appliquer les outils pour le faire a été un cadeau. J’ai d’abord suivi le cursus d’autocompassion en pleine conscience en tant que participante, puis comme enseignante en formation.
Depuis, j’ai incorporé cette pratique à ma vie – même si c’est encore un “work in progress“… Je m’en sers par exemple pour m’aider à faire face aux situations difficiles (la «pause d’autocompassion» est très utile pour ça) ou quand j’ai de la peine à dormir.
Je n’ai pour l’instant pas encore enseigné le cursus complet du cours d’autocompassion en pleine conscience en 8 semaines, mais c’est quelque chose que j’envisage pour la suite.
«Un moment d’autocompassion peut changer toute votre journée. Une série de tels moments peut changer le cours de votre vie.»
~ Chris Germer
«Je ne connais pas votre destinée. Mais je sais cependant que si vous ne trouvez pas une façon d’être utile aux autres, vous ne serez pas heureux.»
~ Albert Schweitzer
La spiritualité
Enfin, un dernier aspect qui m’a accompagnée depuis très jeune était la quête de sens: pourquoi est-ce que je suis là? Que suis-je venue faire sur Terre? Ce besoin de sens et de compréhension m’a amenée naturellement à explorer le côté plus spirituel de la vie. Je me suis ainsi intéressée successivement à divers domaines: médiumnité et intuition, communication animale, channeling…
De fil en aiguille, j’ai découvert l’hypnose régressive quantique et ai dévoré les livres de Dolores Cannon. Ce qui m’a tout de suite plu dans sa technique est le fait qu’elle permette à la personne elle-même de se connecter au Soi supérieur. Le praticien est là pour amener la personne dans l’état d’hypnose et poser des questions pour faire avancer les choses, mais c’est le Soi supérieur qui guide réellement la séance.
Expérimenter cette connexion est souvent très transformateur et pour la plupart des personnes, il y a un «avant» et un «après». Après une séance, elles savent pour l’avoir vécu dans leur corps qu’elles ne sont pas seules. Cette connaissance est précieuse, surtout quand on se retrouve face aux difficultés de la vie.
D’un simple intérêt, j’ai ensuite ressenti le besoin d’explorer plus à fond et d’expérimenter cette technique. Je me suis donc formée et suis praticienne certifiée de niveau 2 depuis 2023.
Mon parcours
Je suis née et ai grandi en Valais. Petite, j’ai déménagé de nombreuses fois. D’un côté, ça m’a appris à être flexible et à m’adapter, mais en tant qu’hypersensible ultra-timide, la transition a souvent été compliquée. C’était toujours le même scénario qui se reproduisait: quand j’arrivais, j’étais «la nouvelle», tout le monde s’intéressait à moi… pendant un jour ou deux! Ensuite, comme j’étais très discrète (au point d’être parfois invisible!), l’intérêt s’évanouissait très vite. Ce que j’en ai retenu: je ne suis pas intéressante et pas assez bien pour être aimée. (Si vous êtes hypersensible et timide, vous vous reconnaîtrez peut-être dans mon histoire même si vos circonstances étaient différentes!)
À l’adolescence, j’ai découvert une chose intéressante: si je faisais semblant d’être une autre personne, alors on m’appréciait. J’ai donc appris à jouer un rôle, même si, à un certain niveau, j’en avais conscience et que ça me mettait mal à l’aise. Au moins, j’avais des amis qui m’appréciaient!
C’est à partir de la trentaine que tout ça m’a rattrapée. Je m’étais tellement éloignée de moi-même que je ne savais plus vraiment qui j’étais, ce que j’aimais, ce que je voulais. J’ai donc entamé un parcours (long et semé d’embûches, mais ô combien riche!) de retour vers moi-même. J’ai eu la chance de trouver sur mon chemin des amis, des guides, des enseignants qui m’ont beaucoup apporté, m’ont montré la voie et m’ont aidée à enlever peu à peu les couches que j’avais ajoutées au fil du temps pour me protéger.
Cela a transparu aussi au niveau du travail: jusque là, mon parcours s’était fait un peu par défaut. J’avais de la facilité et de l’intérêt pour les sciences, je suis donc devenue ingénieure. J’ai opté pour le domaine de la biologie moléculaire, car j’appréciais son côté un peu mystérieux: il y a tant de choses que nous ignorons encore de l’ADN, la génétique, notre fonctionnement…
À cette époque, j’ai été amenée «par hasard» à enseigner. Pour une timide maladive, ça semblait aller à l’encontre du bon sens, mais j’ai découvert que j’aimais ça. Tout comme mes autres tâches: gérer un labo, organiser des travaux pratiques, gérer des mandats de recherche… Cette période de ma vie m’a permis de (re)prendre confiance en moi, de réaliser que j’avais bien plus d’aptitudes que ce que mon sentiment d’infériorité chronique m’avait laissé croire jusque là.
De l’extérieur, tout semblait rouler: une place stable, un travail varié et intéressant, un bon salaire, une ambiance de travail sympa… Mais au fond de moi, je sentais qu’il manquait quelque chose. Cela faisait des années que j’avais entamé mon parcours de développement personnel et spirituel et j’avais envie de pouvoir l’explorer plus à fond, pas juste comme un hobby, mais comme un vrai chemin de vie. C’est ce qui m’a finalement poussée à me lancer et à suivre ma propre voie. Une voie pas toujours facile, parfois chaotique, parfois désertique, mais toujours riche en expériences et enseignements et que je n’ai jamais regretté d’avoir choisie!
Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir m’appuyer sur mon riche parcours et mes années d’expérience – professionnelle et personnelle – pour accompagner au mieux mes clients dans la gestion des émotions, la libération des blocages, la réconciliation intérieure et la reconnexion à Soi.
J’ai toujours eu le goût d’écouter, de découvrir d’autres manières de vivre, de voir le monde. La diversité me fascine: nous sommes tous des êtres humains, mais en même temps si différents!
Je crois que c’est une des choses que mes clients apprécient: ma capacité à écouter sans juger. Après tout, chacun de nous fait du mieux qu’il peut avec ses moyens, et c’est déjà beaucoup! La vie sur Terre n’est certainement pas facile et je crois qu’on a bien plus à gagner à se concentrer sur ce qui nous rassemble plutôt que sur ce qui nous sépare…
De manière générale, je me sens le plus à l’aise avec les hypersensibles introvertis, que j’attire par résonance, mais j’ai la capacité de m’adapter et d’accompagner tous types de personnes!
J’ai également beaucoup de plaisir à travailler avec les animaux. J’ai toujours vécu en compagnie de chats, cochons d’Inde, chien, tortue… et je n’imagine pas la vie sans eux! Les animaux qui partagent notre vie nous donnent énormément et je suis heureuse de pouvoir leur redonner un peu en retour grâce aux soins que je propose pour eux.
Mon engagement envers vous
Je m’engage à mettre à votre service mes compétences et qualités professionnelles et personnelles: